Madeleine veut réduire ses impôts grâce à la pierre

En même temps, elle s’interroge, est-il vraiment prudent d’acheter un bien neuf qu’elle revendra récent dans 10 à 15 ans ? Le risque de perdre en mois value ce qu’elle aura pu économiser en impôts les premières années semble réel.

Et puis il y a eu tellement de logements construits en peu de temps dans la périphérie de la ville qui l’intéresse que son bon sens lui souffle qu’il sera bien compliqué de louer simultanément autant d’appartements et plus tard de les revendre à des gens qui n’auront pas eux d’avantage fiscal à les acquérir.

Savinianne lui a fait découvrir une alternative avec la Scpi Malraux. des biens délabrés mais très bien situés dans des centre-villes devenus « inconstructibles » ou presque, dans lesquels seront effectués beaucoup de travaux de restauration. Les bien seront rénovés, revendus remis en état dans quelques années mais toujours aussi bien situés et rares.

Prévoir à l’avance si la prise de valeur sera suffisante pour compenser la charge importante des travaux est difficile mais au moins elle aura la satisfaction d ‘avoir contribué à la remise en état d’immeubles redevenus superbes. En investissant via une Scpi, elle bénéficie des prix d’achat « en gros » et évite les commissions élevées demandées par les promoteurs sur ces programmes proposés aux particuliers; elle se décharge de tous soucis par la délégation à des professionnels et la diversification des sites.

Et puis, sur un plan fiscal, avoir tout de suite 17 à 18% de réduction d’impôts lui parait plus agréable que de l’étaler sur 9 ans.