La crise de la quarantaine

Publié le 6 avril 2020

Trois milliards d’hommes et un confinement, le mode économique apprend à tourner au ralenti.
Les répercussions sont nombreuses à commencer par des modèles d’évaluation qui ne fonctionnent plus, l’équation comporte trop d’inconnues dont une majeure: la durée de cette inactivité.

Une classe d’actifs échappe toutefois au pessimisme envahissant: le placement forestier. Dédaignant le virus, les arbres continuent de croître au rythme de 2% par an.
Même si les scieries tournent au ralenti, le bois non coupé continue de pousser et de se valoriser.
Sur les 150 ans de cycle de vie d’un chêne, les 40 jours d’immobilisme seront de peu de conséquences.

Pour les marchés financiers, le seul moyen de saisir les opportunités consiste à fractionner dans le temps ses dates d’investissement.
La durée de la marée basse est inconnue mais quand les flux reviendront à l’achat, il serait dommage de ne pas avoir profité de ces périodes aux niveaux bas et de passer à l’action une fois la marée haute revenue.

Nous recommandons la mise en place de versements réguliers dynamiques pour vivre sereinement cette quarantaine au service de ses ambitions au long cours…Lumberjacks_02