Pour Aglaé, l’épargne est un mal nécessaire. Elle est consciente qu’elle en a besoin, mais par-dessus tout, elle aimerait que son épargne soit utile et contribue, même modestement, à laisser une planète meilleure aux générations futures. C’est un peu sa part du colibri à elle.
Elle se méfie énormément des communications trop belles et n’est pas totalement convaincue par la fiabilité des labels. Il y en a trop et il est bien difficile de comprendre à quelle réalité ils correspondent.
Son conseiller Savinianne lui a expliqué très simplement ce que l’on pouvait mesurer et ce que l’on ne voyait pas toujours. Elle est ravie d’être devenue copropriétaire de multiples hectares de forêt, un arbre elle voit bien ce que c’est et contribuer à entretenir et reboiser une région qui lui est chère répond à ses attentes.